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La Plateforme devient partenaire de HackIn 2025

La Plateforme devient partenaire de HackIn 2025

La Plateforme devient partenaire de HackIn 2025 : 24h d’immersion cybersécurité au cœur du sud de la France

La cybersécurité est plus que jamais un enjeu majeur pour nos sociétés numériques. C’est pourquoi La Plateforme est fière d’annoncer son partenariat avec HackIn, l’événement CTF à ne pas louper dans le sud de la France en matière de hacking éthique et de sensibilisation à la sécurité informatique.

📅 Rendez-vous les 14 et 15 juin 2025 à Aix-en-Provence, pour la 4ᵉ édition d’un événement devenu incontournable : HackIn 2025.

Un événement unique mêlant conférences et compétition CTF

Pendant 24 heures, passionnés, étudiants, experts et curieux se rassemblent autour de deux grands temps forts :

🔹 Des conférences d’experts reconnus :
Des intervenants de haut niveau partageront leur expérience, leurs outils préférés et leurs retours concrets du terrain :

  • Nicolas Grégoire – « Quelques extensions Burp que j’adore »

  • Rayan Lecat« How we successfully failed a red team? »

  • Shutdown – « Quand les hackers deviennent la cible »

  • Martial Puygrenier – Mystery talk…

  • Et un speaker surprise annoncé prochainement 👀

🔹 Un CTF nocturne, intense et stimulant :
Un Capture The Flag de 12h, ouvert à tous niveaux, avec des catégories variées :
AD, Système, OSINT, Web, Pwn, Social Engineering, Lockpicking, Web3, Forensic, MISC…

🔹 Les récompenses :

  • 🥇 1er prix : 2000 € + abonnements Hack The Box Pro + Root-me Pro

  • 🥈 2e prix : 1000 € + réductions et goodies

  • 🥉 3e prix : 500 € + goodies

Pourquoi ce partenariat ?

À travers ce partenariat, La Plateforme confirme son engagement à former les talents de demain aux enjeux critiques de la cybersécurité. HackIn est bien plus qu’un événement technique : c’est un espace de rencontre, de transmission de savoirs, de mise en pratique et d’inspiration.

Informations pratiques

📍 Lieu : Aix Ynov Campus, 2 Rue de la Fourane, 13090 Aix-en-Provence

📆 Dates : 14-15 juin 2025

🕒 Déroulement :
14h : Accueil
15h : Conférences
18h : Début du CTF
6h30 : Remise des prix

On s’y retrouve ?

Que vous soyez développeur, étudiant en cybersécurité, pentester, curieux du monde hacker, ou simple passionné : HackIn 2025 est l’occasion parfaite pour vous !

👉 Rejoignez-nous pour vivre 24h d’intensité, de partage et de cybersécurité.

Forum Méditerranéen de la Cybersécurité 2025

Forum Méditerranéen de la Cybersécurité 2025

Anticiper les menaces, agir sur le territoire

Face à l’augmentation des cybermenaces et à la complexité croissante des obligations réglementaires, les collectivités et les entreprises du territoire, – notamment les PME et ETI – se retrouvent en première ligne, souvent insuffisamment préparées.

La Plateforme_, grande école du numérique pour tous, La Provence et le Campus Cyber Région Sud Euromed, s’associent pour créer le rendez-vous cyber des entreprises du territoire.

Ce Forum a pour ambition de sensibiliser, mobiliser et accompagner les dirigeants dans leur compréhension des enjeux de cybersécurité, et de montrer comment le territoire s’organise pour y répondre efficacement.

Rendez vous le
Jeudi 26 juin de 8h30 à 14h00
à Grand Central

19 Rue Henri Barbusse, 13001 Marseille

Au programme de l’événement :

Menaces, enjeux et solutions pour les entreprises du territoire

  • Keynote d’introduction
  • Panorama des cybermenaces 2025 : les PME et collectivités en première ligne !
  • Présentation exclusive : le territoire Aix-Marseille et la cybersécurité
  • Enjeux et solutions du territoire pour les PME : enjeu global de la cybersécurité, réponses et solutions locales
  • Exercice interactif de gestion de crise : introduction à l’exercice REMPAR
  • Dépenses de cybersécurité : coût budgétaire ou investissement rentable ?
  • Présentation de Cyberpark
Avec :
  • Célia Nowak, ANSSI
  • Fabien Suchaud, Gendarmerie PACA
  • Benjamin Penassou, Advens
  • Thomas Gayet, Scovery
  • Laurent Chonez, Cyberway / Crédit Agricole Alpes Provence
  • Arnaud Brouquier, Delta Sertec
  • Thomas Kerjean, Mail In Black
  • Vincent Ferrara, Netsystem
  • Matthieu Capuono, CroweFicorec
  • Guillaume Galiano, Alinea
  • Des surprises !
Chasser les failles, protéger le web : dans les coulisses du bug bounty

Chasser les failles, protéger le web : dans les coulisses du bug bounty

Zoom sur le bug bounty

Bonjour, je m’appelle Benjamin Mamoud, étudiant à La Plateforme. Passionné de cybersécurité, j’ai découvert ce domaine assez tôt. Fasciné par les nouvelles technologies et leur fonctionnement, je me suis naturellement tourné vers le pentest, en me formant sur des plateformes de CTF comme Root-Me. Depuis, je ne cesse de progresser et d’en apprendre davantage chaque jour.

Et si je vous disais qu’on pouvait être payé pour pirater des sites… légalement ?

C’est là qu’intervient le bug bounty, ou « prime à la faille ». Les programmes de bug bounty sont mis en place par des entreprises sur des plateformes dédiées. Cela consiste à inviter des hackers éthiques pour tester leurs systèmes à la recherche de vulnérabilités. Plutôt que d’attendre qu’un cybercriminel exploite une faille, elles préfèrent qu’un chercheur la découvre en amont et le récompensent pour cela.

Une approche intelligente, collaborative, et surtout essentielle pour renforcer la sécurité du web, tout en valorisant les compétences des passionnés de cybersécurité.

Il existe plusieurs plateformes légales pour pratiquer le Bug Bounty, telles que HackerOne, BugCrowd, et YesWeHack. Ces plateformes permettent aux chercheurs en sécurité de tester des systèmes dans un cadre légal et encadré.

Quelles rémunérations pour un bug bounty ?

Voici un ordre d’idée des rémunérations pour un bug bounty dans une grande entreprise :

– Gravité basse : 100-300$

– Gravité moyenne : 500-1000$

– Gravité haute : 1000-3000$

– Gravité critique : 3000-10.000$

Il est également important de différencier le pentest et le bug bounty : le Bug Bounty fait appel à une communauté de chercheurs de vulnérabilités rémunérés uniquement en cas de trouvaille valable (et non déjà signalée), tandis que le pentest requiert l’intervention au forfait sur une durée définie d’experts en cybersécurité, souvent pour des tests plus ciblés.

Les vulnérabilités

Pour performer en bug bounty, il est essentiel de connaître la majorité des vulnérabilités qui s’appliquent aux applications web. Un bon point de départ est le **OWASP Top 10**, qui regroupe les 10 types de vulnérabilités les plus répandues sur les sites web. C’est sur ce type de failles que je concentre mes efforts, me spécialisant particulièrement dans le pentest d’applications web.

Ma découverte du monde des bug bountys : 10 000$ d’un coup !

En janvier 2020, un ami dans la cybersécurité m’avait parlé des programmes de bug bounty. Et un soir, fatigué par une nuit trop courte, j’ai opté pour la facilité : commander à manger sur une application de livraison identifiée sur un programme. En tentant de me connecter, je ne reçois pas le code de vérification par SMS. Curieux, j’ouvre les Devtools de Chrome pour analyser les requêtes.

Je m’attarde sur la requête censée m’envoyer ce code : rien d’anormal, une réponse classique avec un identifiant `inAuthSessionID`. En allant sur la page support, je remarque qu’une nouvelle session est générée via une redirection. Sur un coup de tête, je remplace le cookie `sessionid` par la valeur de `inAuthSessionID`.

Erreur. Mais en revenant sur le site… me voilà connecté.

Je tente à nouveau sur un autre compte, et je réalise que je peux me connecter sur n’importe quel compte, sans mot de passe ni code SMS.

OAuth est un protocole d’autorisation qui permet à une application d’accéder à des ressources d’un utilisateur sans avoir besoin de son mot de passe (en passant par un code reçu par sms en l’occurence). L’utilisateur approuve un accès limité (défini par des « scopes ») à ses données via un jeton d’accès.

La vulnérabilité venait d’une mauvaise gestion de ce protocole. La plateforme ne vérifiait pas correctement les « scopes » (permissions) associés aux jetons. J’avais ainsi accès à plus de données que prévu.

J’envoie un rapport, et quelques semaines plus tard, je reçois une récompense de 10.000 dollars. Une révélation : je décide de me lancer sérieusement dans le signalement de failles.

Comment une simple requête SQL sur un sous-domaine a mené à un accès total

Je visitais régulièrement un site francophone pour ses publications scientifiques, et j’ai décidé de tester sa sécurité.

En énumérant les sous-domaines (`*.entreprise.com`), l’un d’eux attire mon attention. En bruteforçant les ressources, je tombe sur un panneau d’administration. En testant le formulaire de connexion, je détecte une **injection SQL**.

L’injection SQL permet d’envoyer du code malveillant dans une requête à la base de données. Cela permet de lire, modifier, ou supprimer des données sensibles.

Grâce à cette faille, je pouvais exécuter n’importe quelle requête SQL. En allant plus loin, j’ai utilisé la commande `system` pour exécuter des commandes système et obtenir un accès complet à l’infrastructure.

J’ai immédiatement signalé la vulnérabilité à l’équipe, qui m’a félicité pour la découverte.

Une vulnérabilité de type Cross-Site Scripting (XSS)

L’**injection XSS** permet d’injecter du code JavaScript dans une page web. Ce script s’exécute sur le navigateur d’un utilisateur, ce qui peut permettre à un attaquant de voler des cookies ou modifier le contenu de la page.

En naviguant sur un site bien connu de services postaux, je tombe sur une page listant les vendeurs. L’URL est de type : http://entreprise/vendeur/id/0000

En modifiant « id » par « id-abcdef », je remarque que le texte est repris dans le HTML de la page. J’essaie donc cette URL :

« `http://entreprise/vendeur/id »></script>alert(document.cookie)</script><!–/0000 « `

Bingo : une alerte s’affiche avec mes cookies.

Un script malveillant aurait pu les exfiltrer, permettant de pirater des comptes.

Account Takeover : des millions d’euros de tickets restaurant en jeu

Lors d’un test sur une entreprise bien connue qui propose une solution de titres-restaurants utilisée par de grandes entreprises je découvre une vulnérabilité critique.

Lors de l’inscription en tant qu’employeur, il suffit d’indiquer un **SIRET**. Le site vérifie si ce SIRET est déjà enregistré, puis génère une requête de création de compte.

En contournant cette vérification, j’ai pu forger cette requête moi-même et m’inscrire avec n’importe quel email… même si l’entreprise existait déjà.

J’accédais ainsi à l’interface administrateur de n’importe quelle entreprise.

Je n’ai évidemment rien exploité et ai immédiatement signalé la faille.

Des failles, mais surtout des leçons

À travers ces expériences, j’ai compris que la cybersécurité ne consiste pas seulement à chercher des bugs. C’est une discipline qui demande rigueur, curiosité, méthode… mais aussi éthique.

Chaque faille est une opportunité d’apprentissage. Et chaque signalement contribue à rendre le web plus sûr pour tous.

Pour progresser en bug bounty, je conseillerais de pratiquer régulièrement, d’étudier les rapports publics, de suivre l’actualité des vulnérabilités, et de toujours chercher à comprendre en profondeur le fonctionnement des systèmes.

Voici les liens de plateformes intéressantes, si l’envie vous prend d’essayer le bug bounty :

HackerOne : https://hackerone.com

BugCrowd : https://www.bugcrowd.com

YesWeHack : https://yeswehack.com

OpenBugBounty : https://www.openbugbounty.org

Intigriti : https://www.intigriti.com

Zerocopter : https://www.zerocopter.com

Conclusion

Aujourd’hui, je continue à progresser dans cet univers fascinant, en espérant un jour faire de la cybersécurité mon métier à plein temps.

Et pour terminer, un petit rappel utile : Ne faire ces recherches que dans le cadre de programmes de bug bounty bien identifiés ou avec l’accord préalable des entreprises.

En France, les articles 323-1 à 323-7 du Code pénal sanctionnent notamment le fait d’accéder ou de se maintenir frauduleusement dans tout ou partie d’un système de traitement automatisé de données (STAD), ainsi que le fait d’entraver ou de fausser son fonctionnement. Ces infractions sont passibles de peines pouvant aller jusqu’à 5 ans d’emprisonnement et 150 000 € d’amende.

Merci de m’avoir lu ! N’hésitez pas à me contacter ou à échanger si vous avez des questions sur le bug bounty ou la cybersécurité en général.

Rédacteur : Benjamin Mamoud, Etudiant en 1e année spé Cybersécurité à La Plateforme_.
Crédits Images : SkillX, Leastprivilege.com, PortSwigger

Tristan Vanrullen, chercheur et expert IA,  rejoint les équipes pédagogiques de La Plateforme_

Tristan Vanrullen, chercheur et expert IA, rejoint les équipes pédagogiques de La Plateforme_

Interview avec Tristan Vanrullen : Responsable des formations Data/IA et expert Lab-IA de La Plateforme_

Tu viens de rejoindre La Plateforme_. Peux-tu nous en dire plus sur ton rôle ?

Je suis ravi d’intégrer les équipes pédagogiques et le Lab-IA de La Plateforme_, avec une double casquette : responsable des formations en data/IA et expert des projets du Lab-IA. C’est pour moi l’occasion idéale de mettre mon parcours au service de l’enseignement, de l’innovation et des entreprises.

Qu’est-ce qui te passionne dans les domaines de la data science et de l’intelligence artificielle ?

Le traitement des données et du langage naturel m’ont passionné dès le début de mes études. J’ai travaillé en IA symbolique depuis la fin des années 1990, puis j’ai évolué avec les progrès scientifiques et techniques pour développer des solutions enfin accessibles aux entreprises. Ce sont des domaines en pleine expansion, riches en enjeux : transmission, acculturation, montée en compétence et transformation à tous les niveaux de la société. Ils sont à la fois techniques et profondément humains.

Tu as une longue expérience dans l’enseignement. Qu’est-ce qui te motive dans la pédagogie ?

J’enseigne depuis plus de dix ans dans des universités, écoles d’ingénieurs et IUT, et j’ai toujours eu à cœur de transmettre ma passion pour l’informatique. La Plateforme_, avec sa pédagogie basée sur la pratique, l’adaptabilité et le développement des compétences techniques et humaines, constitue un environnement parfait pour former les talents dont le marché a tant besoin.

En tant que référent IA, quel sera ton rôle dans la construction pédagogique ?

Je veille à l’excellence des contenus pédagogiques et à la formation continue des équipes. Mon objectif est d’offrir la meilleure expérience possible aux apprenants et de garantir un haut niveau de qualité pédagogique.

Parles-nous un peu de ton parcours technique.

Je possède plus de vingt ans d’expérience couvrant le développement logiciel (PHP, Python, Java, C/C++, JavaScript), les bases de données, les applications web, avec une spécialisation en traitement automatique des langues (TALN), approfondie lors de mon doctorat et post-doctorat. J’ai également acquis une expertise solide en intelligence artificielle et en data science, que ce soit en conception de projets, en R&D ou en gouvernance.

Comment cette expertise se traduit-elle dans des applications concrètes ?

Elle me permet d’aborder un large éventail d’applications : de la BI à la gestion d’affaires, des outils scientifiques aux solutions fondées sur les réseaux de neurones ou les LLMs. J’ai appliqué ces compétences dans des secteurs variés, comme la santé (CALiMED), les télécommunications (Wiko, Crosscall), les institutions publiques, le monde académique (CNRS, INRIA) et les associations.

Ton parcours inclut aussi une forte composante R&D. Peux-tu nous en dire plus ?

J’ai plus de quinze ans d’expérience dans la recherche et l’innovation, incluant la veille technologique, l’obtention de financements (CIR, OSEO/ANVAR), la conception et la valorisation de projets. J’ai mené des projets de recherche pour le CNRS et l’INRIA, et contribué à des publications scientifiques.

Tu as également accompagné des entreprises dans leur transformation numérique. Quelle est ton approche dans ce cadre ?

Que ce soit comme consultant, DSI ou directeur data science, j’ai accompagné des PME, ETI et grands groupes dans l’intégration de technologies avancées. Mon approche repose sur l’écoute des besoins métiers, l’audit et le conseil, afin de proposer des solutions techniques adaptées, concrètes et durables. Je m’intéresse en particulier à des approches qui permettent à l’organisation et à ses ressources de considérer la data et l’IA comme des alliés qui vont décupler leurs potentiels.

Quel est ton rôle au sein du Lab-IA de La Plateforme ?

J’y pilote des projets innovants, développe l’offre IA de l’école et renforce les partenariats avec les entreprises. Je conçois notamment des ateliers et des formations sur mesure pour accompagner les organisations dans leur transformation data et IA.

Quelle est ta vision pour l’avenir de l’IA et de la formation ?

Je suis convaincu que la qualité de la formation en IA et en data est un levier essentiel pour répondre aux besoins croissants des entreprises. Je suis honoré de contribuer à faire de La Plateforme un pôle d’excellence reconnu dans ces domaines, en formant les acteurs de demain et en collaborant activement avec le tissu économique et académique d’Aix-Marseille et au-delà.

Vous souhaitez en apprendre plus sur Tristan ?

 

En savoir plus sur La Plateforme_

La Plateforme_ est une école des métiers du numérique et des nouvelles technologies, cofondée avec les grandes entreprises de la Métropole Aix-Marseille et le soutien des pouvoirs publics locaux. Au sein de ses cursus BAC+3 et BAC+5 en alternance ou en formation initiale, elle forme aux outils, aux nouveaux langages informatiques et aux métiers du secteur numérique (Cybersécurité, IA, Logiciel, Immersif, Web). 

La Plateforme_ s’est déployée sur 5 campus à Marseille et dans la Région Sud ainsi qu’à Paris en partenariat avec Frojal Education. Elle poursuit une mission sociale et promeut la mixité des publics au sein de ses formations : hommes et femmes, en formation initiale ou en reconversion, sans condition d’âge, ni d’expérience professionnelle. 

Elle a par ailleurs développé des programmes extrascolaires, tels que TUMO et CYBERPARK destinés à promouvoir une culture numérique créative et citoyenne auprès des jeunes publics de 12 à 18 ans.

Contact Presse :
rosina.rajakkannu@laplateforme.io – 06.48.73.97.66

CDPI Big Project : Création d’un site hybride dédié aux organismes de formation

CDPI Big Project : Création d’un site hybride dédié aux organismes de formation

Un projet collaboratif réalisé par nos étudiants du programme CDPI afin de solutionner un besoin des organismes de formation

Durant une période de 10 semaines, les 30 étudiants du parcours CDPI (Contrat de Développement Professionnel Intérimaire) se sont réunis autour d’un projet commun : développer un site internet destiné aux organismes de formation et inspiré des contenus et besoin de La Plateforme_. Ce projet, réparti en plusieurs modules fonctionnels, a mobilisé les compétences techniques, organisationnelles et créatives de chacun.

Un site pensé pour les apprenants… et les recruteurs !

Le site propose une présentation claire des différentes formations en informatique, avec un espace dédié aux témoignages d’étudiants et un outil d’orientation par compétences. Ce dernier prend la forme d’un test ludique, intégrant des éléments de gamification, pour aider les utilisateurs à identifier la formation la plus adaptée à leur profil.

L’inscription est ouverte à tous à partir de 16 ans, via un formulaire dédié. Les utilisateurs peuvent soumettre leur CV et autres documents administratifs pour créer leur profil et, s’ils le souhaitent, postuler directement à une formation.

Plusieurs types de profils sont disponibles :

  • Étudiants : accès à leur parcours de formation, gestion des absences, messagerie avec filtrage des destinataires, et signature de présence sécurisée (géolocalisation, créneaux horaires définis, connexion au Wi-Fi de l’école requise).
  • Recruteurs : possibilité de consulter des profils d’apprenants et de soumettre une demande d’inscription.
  • Administrateurs : gestion des utilisateurs, édition simplifiée des profils, ajout ou suppression de formations, étudiants et formateurs.

Un trombinoscope permet aux étudiants de visualiser leurs camarades, à l’exception des administrateurs et super administrateurs. En cas de besoin, un système de tickets d’assistance est également disponible.

Sécurité, accessibilité et modularité au cœur du projet

Le site est conçu selon des normes strictes de sécurité : géolocalisation, gestion des adresses IP, authentification renforcée, cryptage des données sensibles via ORM, double authentification, et utilisation de jetons pour l’accès aux bases de données.

Multilingue, il propose une version en anglais, et a été développé en open source pour permettre une réutilisation facile dans d’autres contextes de formation, à l’image d’un outil type WordPress.

Une organisation agile et collaborative

Le développement du site a été confié à cinq groupes, chacun chargé d’un module spécifique. Un Scrum Master dans chaque groupe jouait le rôle de référent technique et assurait le lien avec l’équipe en charge du debugging final. Chaque groupe a développé sa partie sur un environnement partagé (via GitHub) avec Docker, permettant de centraliser le travail sur un seul poste.

La fusion des différentes parties a constitué l’un des défis majeurs du projet, tant sur le plan technique (harmonisation du code, compatibilité des modules) que sur le plan organisationnel.

Un projet dont l’expertise dépasse le niveau de formation des apprenants

Ce projet s’est démarqué non seulement par son envergure, mais aussi par la qualité technique et fonctionnelle du développement, largement supérieure au niveau attendu pour des apprenants en formation CDPI. L’interface utilisateur, aboutie et professionnelle, ainsi que la richesse fonctionnelle du site — gestion fine des profils, sécurité avancée, modules dynamiques, géolocalisation, système de tickets, et gamification — témoignent d’un engagement exceptionnel de la part des étudiants. Ils ont su mobiliser et approfondir des compétences qui dépassent largement les attendus de leur parcours, en se confrontant à des problématiques dignes de projets professionnels de grande ampleur.

Bravo à nos étudiants pour leur implication et le travail réalisé !

Julie Thinès rejoint les équipes de la Formation continue et des programmes « La Plateforme_Creative »

Julie Thinès rejoint les équipes de la Formation continue et des programmes « La Plateforme_Creative »

La Plateforme_ accueille Julie Thinès en tant que Directrice de la Formation continue et des programmes « La Plateforme_Creative »

La Plateforme_, école des métiers du numérique et des nouvelles technologies, annonce l’arrivée de Julie Thinès au poste de Directrice de la Formation continue et des programmes La Plateforme_Creative, dédiés aux innovations dans l’image numérique (systèmes immersifs, narration augmentée, etc.).

Forte de près de 20 ans d’expérience dans la conception de programmes de formation et diplômée de Sciences Po Paris, de l’ESSEC et de l’Institut Multi-Médias, Julie Thinès a accompagné la transformation pédagogique et numérique de plusieurs grandes écoles. Elle a notamment conçu des Executive Masters autour de la stratégie digitale et de la data, introduit les enjeux de l’IA dans les formations dès 2014, et co-développé des cours sur les technologies de rupture et l’éthique publique à Sciences Po.

Avant de rejoindre La Plateforme_, elle était Directrice des études à HEC Paris, où elle a piloté la refonte du curriculum et modernisé l’expérience étudiante pour 3 000 élèves.

À La Plateforme_, Julie Thinès développe des formations de pointe, à l’intersection des technologies immersives, de la création numérique et des enjeux de transformation durable.

En savoir plus sur La Plateforme_

La Plateforme_ est une école des métiers du numérique et des nouvelles technologies, cofondée avec les grandes entreprises de la Métropole Aix-Marseille et le soutien des pouvoirs publics locaux. Au sein de ses cursus BAC+3 et BAC+5 en alternance ou en formation initiale, elle forme aux outils, aux nouveaux langages informatiques et aux métiers du secteur numérique (Cybersécurité, IA, Logiciel, Immersif, Web). 

La Plateforme_ s’est déployée sur 5 campus à Marseille et dans la Région Sud ainsi qu’à Paris en partenariat avec Frojal Education. Elle poursuit une mission sociale et promeut la mixité des publics au sein de ses formations : hommes et femmes, en formation initiale ou en reconversion, sans condition d’âge, ni d’expérience professionnelle. 

Elle a par ailleurs développé des programmes extrascolaires, tels que TUMO et CYBERPARK destinés à promouvoir une culture numérique créative et citoyenne auprès des jeunes publics de 12 à 18 ans.

Contact Presse :
rosina.rajakkannu@laplateforme.io – 06.48.73.97.66

Découvrez notre BDE – 2025

Découvrez notre BDE – 2025

À La Plateforme, le BDE insuffle une nouvelle dynamique étudiante

Le Bureau des Étudiants (BDE) de La Plateforme connaît un renouveau salué par de nombreux étudiants. Ce souffle nouveau, porté par une nouvelle équipe engagée avec pour objectif : Insuffler une vraie dynamique de campus, renforcer le lien entre les promos, et redonner toute sa place à la vie étudiante.

Créer du lien, casser les cloisons

Dans une école tournée vers l’informatique et l’alternance, la pression se fait ressentir. Entre les projets, les cours et la recherche d’entreprise, les étudiants sont souvent absorbés par leur parcours professionnel. C’est justement pour rééquilibrer cette vie étudiante que le BDE joue un rôle fondamental.

« Le BDE apporte une diversité, un mélange, et provoque des rencontres qui n’auraient peut-être pas eu lieu autrement, grâce à la mise en avant de passions comme le sport ou la musique. Ça nous fait sortir un peu du cadre des projets informatiques, et ça fait du bien. » Explique Axel Achart, étudiant de première année.

Un moteur pour la vie de campus

Derrière les événements, les soirées et les activités culturelles, se dessine un objectif clair : créer un espace de respiration pour les étudiants. Un lieu où l’on peut s’amuser, échanger, et vivre pleinement ses années à La Plateforme.

« Le BDE apporte une ouverture, une nouvelle dynamique. Ce n’est pas toujours simple à mettre en place, il faut des ajustements, mais on sent que les choses avancent dans le bon sens. Ce qu’on veut, c’est proposer des projets qui nous ressemblent, prendre du plaisir dans ce qu’on fait, et ça se voit. » Témoigne Joël Traina-Metogo Messina

« Sans le BDE, l’école serait beaucoup plus calme. Peut-être trop calme. Grâce à ça, on rit, on échange, on se crée des souvenirs. C’est un peu le cœur de la vie étudiante. » Raconte Alex Bachir

Et cette dynamique ne s’arrête pas aux événements ponctuels. Les clubs, eux aussi, se développent, avec leur propre identité. Chaque groupe réunit ses passionnés, autour de projets concrets, qui participent à enrichir l’expérience de chacun.

Les clubs présents :

Des bases solides pour la prospérité du BDE

A la tête du BDE, Raphaël Attias, étudiant en deuxième année, a porté ce projet à bout de bras, avec une conviction forte : redonner toute sa place à la vie étudiante à La Plateforme. Une mission d’autant plus complexe qu’il pilote le tout… depuis Paris, où il effectue son alternance.

« Le BDE n’a pas été simple à relancer. Il fallait trouver des personnes de confiance, leur transmettre l’énergie du collectif, leur donner envie de s’investir. Je suis très fier de ce qu’est devenu le BDE» explique-t-il.

Parmi les réussites marquantes, une grande première : l’organisation de la première campagne de sweats du BDE dans l’histoire de l’école. Un symbole fort d’unité et d’appartenance.

« Ce qui me rend le plus fier, c’est de voir les étudiants heureux. De les voir participer à des activités, faire des rencontres, se détendre un peu sans sortir de leur environnement. Et quand je reviens à l’école, je ressens cette petite dynamique en plus. C’est ce qui me donne envie de continuer. » par Raphael Attias

Même si le lancement a demandé du temps et de l’investissement, les fondations sont désormais bien établies. « Le plus dur, c’était de convaincre et de mobiliser. Mais aujourd’hui, on a une vraie équipe, motivée, qui porte une vision. », « Ce qui est beau, c’est que malgré la distance, on a réussi à mettre en place une vraie structure. Aujourd’hui, le BDE touche deux campus, à Marseille et Martigues, avec une équipe de 17 personnes. » témoigne Raphael Attias

Et cette vision va bien au-delà de cette seule année scolaire. Les membres actuels posent les bases pour une continuité des clubs et des projets dans le futur.

Si notre nouveau BDE ne fait que débuter, une chose est sûre : l’élan est bien lancé. La vie étudiante, elle, ne demande qu’à s’épanouir.

Rédacteur : Raphaël Attias, Etudiant en 2ème année spé Cybersécurité à La Plateforme_.

découvrir le Bachelor de La Plateforme

Découvrez ci-dessous une vidéo réalisée par nos étudiant !

Retour sur le CTF PwnMe Junior : La Plateforme X Cybersup décroche une 4e place

Retour sur le CTF PwnMe Junior : La Plateforme X Cybersup décroche une 4e place

Un week-end de challenges dédiés aux passionnés de cybersécurité

Le week-end dernier, le campus de l’école 2600 à Montigny-le-Bretonneux a accueilli la dernière édition du CTF PwnMe Junior, un événement en présentiel entièrement dédié aux passionnés de cybersécurité. Organisé par la team PwnMe, ce challenge technique a réuni 12 équipes étudiantes venues tester leurs compétences sur un large panel d’épreuves.

Un événement pour apprendre, progresser et performer

Pensé comme une porte d’entrée accessible au monde du CTF (Capture The Flag), le PwnMe Junior a rassemblé un public éclectique : des équipes expérimentées comme des étudiants en pleine découverte de l’univers du hacking éthique. Un cadre idéal pour apprendre, progresser et se confronter aux réalités des défis cyber actuels, le tout dans une atmosphère à la fois compétitive et bienveillante.

C’est dans ce contexte qu’est née une équipe réunissant des étudiants de La Plateforme et de Cybersup, à l’initiative de Raphaël Attias. Un trio formé au dernier moment, sans même se connaître avant le début de la compétition, composé notamment de Robin Lautier, étudiant à Cybersup & Raphaël Attias, étudiant à La Plateforme.

Et pourtant, contre toute attente, l’équipe a décroché une remarquable 4e place sur 12, dépassant plusieurs équipes plus nombreuses. Elle se classe même première parmi les équipes composées de seulement trois membres (quatre participants pour une équipe dite complète). Une belle performance, reflet de leur complémentarité, de leur réactivité et de leur motivation.

Une compétition technique aux multiples défis

Les épreuves du CTF couvraient les grands piliers de la cybersécurité offensive :

• Exploitation Web
• Cryptographie
• Analyse Forensique
• Exploitation de binaire
• Rétro-ingénierie
• Programmation
• OSINT

Des catégories variées et exigeantes, que l’équipe a su aborder avec sérieux et efficacité

Une expérience enrichissante et une dynamique inter-écoles prometteuse

Un grand merci à l’école 2600 et à la team PwnMe pour l’accueil chaleureux, l’organisation irréprochable et la qualité des challenges proposés. Ce type d’événement est une excellente opportunité pour les étudiants de se rencontrer, d’apprendre ensemble et de renforcer leurs compétences sur le terrain.

Une belle expérience et une belle dynamique inter-écoles que l’on espère voir grandir dans les prochains événements !

Rédacteur : Raphaël Attias, Etudiant en 2ème année spé Cybersécurité à La Plateforme_.

Retour sur la table ronde : Industries immersives – 17 avril 2025

Retour sur la table ronde : Industries immersives – 17 avril 2025

Présent et futur immersifs : ce que l’industrie lourde, le jeu vidéo, la 3D et le cinéma nous disent déjà du monde dans lequel travailler demain

Et si les technologies immersives n’étaient plus seulement un terrain d’expérimentation, mais un nouvel espace stratégique pour nos industries de tous types?

Le 17 avril dernier, La Plateforme_ accueillait une table ronde exceptionnelle, première d’une série sur les systèmes immersifs : quatre experts de haut niveau, quatre points de vue, un même fil rouge : l’impact concret des systèmes immersifs dans nos industries, tous secteurs confondus. Résumé d’un échange à haute valeur ajoutée.

Industrie lourde : la réalité virtuelle n’est plus un gadget mais un levier de performance

Olivier Riou (Directeur du Digital Experience Center chez Siemens), a ouvert le bal en évoquant un cas concret d’application de la réalité virtuelle dans l’industrie : les jumeaux numériques des machines, ces répliques virtuelles d’installations industrielles qui permettent de tester, corriger, optimiser… sans jamais casser une vis ou risquer un accident. Résultat ? Des gains de productivité réels, mesurables, et surtout, accessibles grâce à des architectures immersives de nouvelle génération. L’immersif devient ici un outil de performance, pas une mode passagère.

Olivier Riou a également évoqué le départ à la retraite de 50% des effectifs de l’industrie lourde d’ici à cinq ans : le secteur va donc recruter de façon significative dans les années à venir! Et notamment des jeunes bien formés sur ces technologies. Car les entreprises ont besoin des jumeaux numériques de toutes les machines, afin de réduire les délais de maintenance et donc les coûts de production.

3D temps réel : l’émotion de l’expérience utilisateur avant la technologie

Pour Sylvain Ordureau (Fondateur et président de 3DVerse), physicien de formation et détenteur de brevets pour des technologies de pointe, la 3D temps réel, en cours de développement, ne sera ni lourde ni complexe. Elle sera fluide, accessible via le cloud, sur tous les appareils, et, en outre, collaborative. Grâce à une technologie (de calcul déporté) qui s’efface derrière l’expérience utilisateur, l’immersif peut redevenir soit un vecteur d’émotion, soit un vecteur de performance économique, et non un défi technologique permanent.

Sylvain Ordureau promet une révolution de l’usage, par une simplification de l’accès (pas d’application ou de données à télécharger), au service des utilisateurs et créateurs. Il défend l’idée que le monde moderne a besoin d’une bonne architecture, comme celle que propose 3DVerse : dans un seul espace persistant, les personnes peuvent échanger comme dans un outil collaboratif, avec des scènes 3D qui permettent de visualiser des détails poussés. Et les développements dans l’industrie lourde sont nombreux : il s’agit pour les jeunes diplômés de se renseigner sur ces débouchés qui peuvent être aussi “fun” que les débouchés dans les industries créatives.

Selon lui, le principal défi est celui de la résistance au changement. Les gens adorent la nouveauté mais détestent le changement. Si l’architecture est claire en revanche, la réglementation et les critères d’éthique seront simples à appliquer.

Jeu vidéo et spectacles : créativité et quête de modèle

Le témoignage de Nicolas Vienat (Fondateur de Hallucinations Studio) a jeté une lumière crue mais stimulante sur les enjeux du jeu vidéo immersif mais aussi des expériences en grande salle.

Dans le secteur du jeu vidéo, loin des clichés, il a parlé de métiers multiples, de sens à trouver, et surtout, d’un public à conquérir. Car si l’immersif fascine, il reste à construire une audience fidèle et capable de payer des prix relativement élevés. Il s’agit de construire un modèle économique viable sans sacrifier le volet artistique. Interrogé sur les développements liés au mobile, il a précisé que si certes le mobile accroît les usages, la VR est encore très limitée sur cet appareil.

Il a mentionné que le secteur des expériences virtuelles en grande salle se développe également, offrant un débouché alternatif pour les métiers de l’immersif.

Enfin, au rang des compétences majeures pour travailler dans un studio de jeu vidéo et expériences virtuelles, il a souligné la compétence de communication interpersonnelle. Les bases techniques sont indispensables, mais tout autant que la capacité à travailler en équipe.

Cinéma/télévision : un tournant narratif et écologique

Lionel Payet Pigeon (Fondateur de La Planète Rouge, studio de production virtuelle et de post-production, précédemment compositeur de musique pour l’image) a partagé une vision en mutation du cinéma et de l’audiovisuel plus largement. Grâce à la production virtuelle (mur LED et technologies associées), les tournages changent de nature : plus agiles, moins coûteux, et surtout, à l’empreinte carbone réduite. L’immersif devient un outil de storytelling et de transformation, au service d’une industrie qui repense ses récits autant que ses pratiques. Les plateaux numériques deviennent des terrains d’invention narrative, où les frontières entre fiction, documentaire et art visuel s’estompent. Cependant, les technologies ne remplacent pas la connaissance du métier.

Il a insisté sur la formation nécessaire pour monter en compétences sur la production virtuelle. Sylvia Andriantsimahavandy, directrice de l’innovation à La Plateforme, a rebondi sur ce point en rappelant l’existence de la nouvelle formation continue “Ecrire et storyboarder une série pour la production virtuelle” organisée cette année par l’école, sous la houlette de Pierre Cattan, expert du transmédia, journaliste et producteur, fondateur du studio de création Small Bang.

En conclusion : l’immersif, une culture et une grammaire interdisciplinaire à apprendre

Ce qui relie tous ces témoignages ? Une certitude : l’immersion est plus qu’une technologie, elle ne vaut que si elle est porteuse de sens, et/ou de performance, et si elle s’apprend minutieusement. Technique, art, stratégie, écologie, émotion et collaboration : les systèmes immersifs obligent à décloisonner.

Le futur de l’immersif s’écrit dans ces expérimentations, ces projets, et aussi dans les formations. À l’heure où les étudiants s’interrogent sur leur avenir dans un monde en transformation, cette table ronde a offert un message clair : les métiers de demain se construiront dans les interstices entre tech, création, stratégie et conscience sociale. Et les systèmes immersifs seront l’un de leurs laboratoires les plus fertiles.

C’est pour répondre à ces besoins en talents que nous avons lancé un Master of Science “Expert Systèmes Immersifs” qui permet de travailler dans ces différents secteurs grâce à une maîtrise des technologies et savoir-être adaptés.

Rédactrice : Julie Thines, Directrice de la formation continue et du programme La Plateforme Creative.

La Plateforme_ bénéficie du soutien du plan France 2030 – La grande fabrique de l’image et est accompagnée par le CNC.