CDPI Big Project : Création d’un site hybride dédié aux organismes de formation

CDPI Big Project : Création d’un site hybride dédié aux organismes de formation

Un projet collaboratif réalisé par nos étudiants du programme CDPI afin de solutionner un besoin des organismes de formation

Durant une période de 10 semaines, les 30 étudiants du parcours CDPI (Contrat de Développement Professionnel Intérimaire) se sont réunis autour d’un projet commun : développer un site internet destiné aux organismes de formation et inspiré des contenus et besoin de La Plateforme_. Ce projet, réparti en plusieurs modules fonctionnels, a mobilisé les compétences techniques, organisationnelles et créatives de chacun.

Un site pensé pour les apprenants… et les recruteurs !

Le site propose une présentation claire des différentes formations en informatique, avec un espace dédié aux témoignages d’étudiants et un outil d’orientation par compétences. Ce dernier prend la forme d’un test ludique, intégrant des éléments de gamification, pour aider les utilisateurs à identifier la formation la plus adaptée à leur profil.

L’inscription est ouverte à tous à partir de 16 ans, via un formulaire dédié. Les utilisateurs peuvent soumettre leur CV et autres documents administratifs pour créer leur profil et, s’ils le souhaitent, postuler directement à une formation.

Plusieurs types de profils sont disponibles :

  • Étudiants : accès à leur parcours de formation, gestion des absences, messagerie avec filtrage des destinataires, et signature de présence sécurisée (géolocalisation, créneaux horaires définis, connexion au Wi-Fi de l’école requise).
  • Recruteurs : possibilité de consulter des profils d’apprenants et de soumettre une demande d’inscription.
  • Administrateurs : gestion des utilisateurs, édition simplifiée des profils, ajout ou suppression de formations, étudiants et formateurs.

Un trombinoscope permet aux étudiants de visualiser leurs camarades, à l’exception des administrateurs et super administrateurs. En cas de besoin, un système de tickets d’assistance est également disponible.

Sécurité, accessibilité et modularité au cœur du projet

Le site est conçu selon des normes strictes de sécurité : géolocalisation, gestion des adresses IP, authentification renforcée, cryptage des données sensibles via ORM, double authentification, et utilisation de jetons pour l’accès aux bases de données.

Multilingue, il propose une version en anglais, et a été développé en open source pour permettre une réutilisation facile dans d’autres contextes de formation, à l’image d’un outil type WordPress.

Une organisation agile et collaborative

Le développement du site a été confié à cinq groupes, chacun chargé d’un module spécifique. Un Scrum Master dans chaque groupe jouait le rôle de référent technique et assurait le lien avec l’équipe en charge du debugging final. Chaque groupe a développé sa partie sur un environnement partagé (via GitHub) avec Docker, permettant de centraliser le travail sur un seul poste.

La fusion des différentes parties a constitué l’un des défis majeurs du projet, tant sur le plan technique (harmonisation du code, compatibilité des modules) que sur le plan organisationnel.

Un projet dont l’expertise dépasse le niveau de formation des apprenants

Ce projet s’est démarqué non seulement par son envergure, mais aussi par la qualité technique et fonctionnelle du développement, largement supérieure au niveau attendu pour des apprenants en formation CDPI. L’interface utilisateur, aboutie et professionnelle, ainsi que la richesse fonctionnelle du site — gestion fine des profils, sécurité avancée, modules dynamiques, géolocalisation, système de tickets, et gamification — témoignent d’un engagement exceptionnel de la part des étudiants. Ils ont su mobiliser et approfondir des compétences qui dépassent largement les attendus de leur parcours, en se confrontant à des problématiques dignes de projets professionnels de grande ampleur.

Bravo à nos étudiants pour leur implication et le travail réalisé !

Julie Thinès rejoint les équipes de la Formation continue et des programmes « La Plateforme_Creative »

Julie Thinès rejoint les équipes de la Formation continue et des programmes « La Plateforme_Creative »

La Plateforme_ accueille Julie Thinès en tant que Directrice de la Formation continue et des programmes « La Plateforme_Creative »

La Plateforme_, école des métiers du numérique et des nouvelles technologies, annonce l’arrivée de Julie Thinès au poste de Directrice de la Formation continue et des programmes La Plateforme_Creative, dédiés aux innovations dans l’image numérique (systèmes immersifs, narration augmentée, etc.).

Forte de près de 20 ans d’expérience dans la conception de programmes de formation et diplômée de Sciences Po Paris, de l’ESSEC et de l’Institut Multi-Médias, Julie Thinès a accompagné la transformation pédagogique et numérique de plusieurs grandes écoles. Elle a notamment conçu des Executive Masters autour de la stratégie digitale et de la data, introduit les enjeux de l’IA dans les formations dès 2014, et co-développé des cours sur les technologies de rupture et l’éthique publique à Sciences Po.

Avant de rejoindre La Plateforme_, elle était Directrice des études à HEC Paris, où elle a piloté la refonte du curriculum et modernisé l’expérience étudiante pour 3 000 élèves.

À La Plateforme_, Julie Thinès développe des formations de pointe, à l’intersection des technologies immersives, de la création numérique et des enjeux de transformation durable.

En savoir plus sur La Plateforme_

La Plateforme_ est une école des métiers du numérique et des nouvelles technologies, cofondée avec les grandes entreprises de la Métropole Aix-Marseille et le soutien des pouvoirs publics locaux. Au sein de ses cursus BAC+3 et BAC+5 en alternance ou en formation initiale, elle forme aux outils, aux nouveaux langages informatiques et aux métiers du secteur numérique (Cybersécurité, IA, Logiciel, Immersif, Web). 

La Plateforme_ s’est déployée sur 5 campus à Marseille et dans la Région Sud ainsi qu’à Paris en partenariat avec Frojal Education. Elle poursuit une mission sociale et promeut la mixité des publics au sein de ses formations : hommes et femmes, en formation initiale ou en reconversion, sans condition d’âge, ni d’expérience professionnelle. 

Elle a par ailleurs développé des programmes extrascolaires, tels que TUMO et CYBERPARK destinés à promouvoir une culture numérique créative et citoyenne auprès des jeunes publics de 12 à 18 ans.

Contact Presse :
rosina.rajakkannu@laplateforme.io – 06.48.73.97.66

Découvrez notre BDE – 2025

Découvrez notre BDE – 2025

À La Plateforme, le BDE insuffle une nouvelle dynamique étudiante

Le Bureau des Étudiants (BDE) de La Plateforme connaît un renouveau salué par de nombreux étudiants. Ce souffle nouveau, porté par une nouvelle équipe engagée avec pour objectif : Insuffler une vraie dynamique de campus, renforcer le lien entre les promos, et redonner toute sa place à la vie étudiante.

Créer du lien, casser les cloisons

Dans une école tournée vers l’informatique et l’alternance, la pression se fait ressentir. Entre les projets, les cours et la recherche d’entreprise, les étudiants sont souvent absorbés par leur parcours professionnel. C’est justement pour rééquilibrer cette vie étudiante que le BDE joue un rôle fondamental.

« Le BDE apporte une diversité, un mélange, et provoque des rencontres qui n’auraient peut-être pas eu lieu autrement, grâce à la mise en avant de passions comme le sport ou la musique. Ça nous fait sortir un peu du cadre des projets informatiques, et ça fait du bien. » Explique Axel Achart, étudiant de première année.

Un moteur pour la vie de campus

Derrière les événements, les soirées et les activités culturelles, se dessine un objectif clair : créer un espace de respiration pour les étudiants. Un lieu où l’on peut s’amuser, échanger, et vivre pleinement ses années à La Plateforme.

« Le BDE apporte une ouverture, une nouvelle dynamique. Ce n’est pas toujours simple à mettre en place, il faut des ajustements, mais on sent que les choses avancent dans le bon sens. Ce qu’on veut, c’est proposer des projets qui nous ressemblent, prendre du plaisir dans ce qu’on fait, et ça se voit. » Témoigne Joël Traina-Metogo Messina

« Sans le BDE, l’école serait beaucoup plus calme. Peut-être trop calme. Grâce à ça, on rit, on échange, on se crée des souvenirs. C’est un peu le cœur de la vie étudiante. » Raconte Alex Bachir

Et cette dynamique ne s’arrête pas aux événements ponctuels. Les clubs, eux aussi, se développent, avec leur propre identité. Chaque groupe réunit ses passionnés, autour de projets concrets, qui participent à enrichir l’expérience de chacun.

Les clubs présents :

Des bases solides pour la prospérité du BDE

A la tête du BDE, Raphaël Attias, étudiant en deuxième année, a porté ce projet à bout de bras, avec une conviction forte : redonner toute sa place à la vie étudiante à La Plateforme. Une mission d’autant plus complexe qu’il pilote le tout… depuis Paris, où il effectue son alternance.

« Le BDE n’a pas été simple à relancer. Il fallait trouver des personnes de confiance, leur transmettre l’énergie du collectif, leur donner envie de s’investir. Je suis très fier de ce qu’est devenu le BDE» explique-t-il.

Parmi les réussites marquantes, une grande première : l’organisation de la première campagne de sweats du BDE dans l’histoire de l’école. Un symbole fort d’unité et d’appartenance.

« Ce qui me rend le plus fier, c’est de voir les étudiants heureux. De les voir participer à des activités, faire des rencontres, se détendre un peu sans sortir de leur environnement. Et quand je reviens à l’école, je ressens cette petite dynamique en plus. C’est ce qui me donne envie de continuer. » par Raphael Attias

Même si le lancement a demandé du temps et de l’investissement, les fondations sont désormais bien établies. « Le plus dur, c’était de convaincre et de mobiliser. Mais aujourd’hui, on a une vraie équipe, motivée, qui porte une vision. », « Ce qui est beau, c’est que malgré la distance, on a réussi à mettre en place une vraie structure. Aujourd’hui, le BDE touche deux campus, à Marseille et Martigues, avec une équipe de 17 personnes. » témoigne Raphael Attias

Et cette vision va bien au-delà de cette seule année scolaire. Les membres actuels posent les bases pour une continuité des clubs et des projets dans le futur.

Si notre nouveau BDE ne fait que débuter, une chose est sûre : l’élan est bien lancé. La vie étudiante, elle, ne demande qu’à s’épanouir.

Rédacteur : Raphaël Attias, Etudiant en 2ème année spé Cybersécurité à La Plateforme_.

découvrir le Bachelor de La Plateforme

Découvrez ci-dessous une vidéo réalisée par nos étudiant !

Retour sur le CTF PwnMe Junior : La Plateforme X Cybersup décroche une 4e place

Retour sur le CTF PwnMe Junior : La Plateforme X Cybersup décroche une 4e place

Un week-end de challenges dédiés aux passionnés de cybersécurité

Le week-end dernier, le campus de l’école 2600 à Montigny-le-Bretonneux a accueilli la dernière édition du CTF PwnMe Junior, un événement en présentiel entièrement dédié aux passionnés de cybersécurité. Organisé par la team PwnMe, ce challenge technique a réuni 12 équipes étudiantes venues tester leurs compétences sur un large panel d’épreuves.

Un événement pour apprendre, progresser et performer

Pensé comme une porte d’entrée accessible au monde du CTF (Capture The Flag), le PwnMe Junior a rassemblé un public éclectique : des équipes expérimentées comme des étudiants en pleine découverte de l’univers du hacking éthique. Un cadre idéal pour apprendre, progresser et se confronter aux réalités des défis cyber actuels, le tout dans une atmosphère à la fois compétitive et bienveillante.

C’est dans ce contexte qu’est née une équipe réunissant des étudiants de La Plateforme et de Cybersup, à l’initiative de Raphaël Attias. Un trio formé au dernier moment, sans même se connaître avant le début de la compétition, composé notamment de Robin Lautier, étudiant à Cybersup & Raphaël Attias, étudiant à La Plateforme.

Et pourtant, contre toute attente, l’équipe a décroché une remarquable 4e place sur 12, dépassant plusieurs équipes plus nombreuses. Elle se classe même première parmi les équipes composées de seulement trois membres (quatre participants pour une équipe dite complète). Une belle performance, reflet de leur complémentarité, de leur réactivité et de leur motivation.

Une compétition technique aux multiples défis

Les épreuves du CTF couvraient les grands piliers de la cybersécurité offensive :

• Exploitation Web
• Cryptographie
• Analyse Forensique
• Exploitation de binaire
• Rétro-ingénierie
• Programmation
• OSINT

Des catégories variées et exigeantes, que l’équipe a su aborder avec sérieux et efficacité

Une expérience enrichissante et une dynamique inter-écoles prometteuse

Un grand merci à l’école 2600 et à la team PwnMe pour l’accueil chaleureux, l’organisation irréprochable et la qualité des challenges proposés. Ce type d’événement est une excellente opportunité pour les étudiants de se rencontrer, d’apprendre ensemble et de renforcer leurs compétences sur le terrain.

Une belle expérience et une belle dynamique inter-écoles que l’on espère voir grandir dans les prochains événements !

Rédacteur : Raphaël Attias, Etudiant en 2ème année spé Cybersécurité à La Plateforme_.

Retour sur la table ronde : Industries immersives – 17 avril 2025

Retour sur la table ronde : Industries immersives – 17 avril 2025

Présent et futur immersifs : ce que l’industrie lourde, le jeu vidéo, la 3D et le cinéma nous disent déjà du monde dans lequel travailler demain

Et si les technologies immersives n’étaient plus seulement un terrain d’expérimentation, mais un nouvel espace stratégique pour nos industries de tous types?

Le 17 avril dernier, La Plateforme_ accueillait une table ronde exceptionnelle, première d’une série sur les systèmes immersifs : quatre experts de haut niveau, quatre points de vue, un même fil rouge : l’impact concret des systèmes immersifs dans nos industries, tous secteurs confondus. Résumé d’un échange à haute valeur ajoutée.

Industrie lourde : la réalité virtuelle n’est plus un gadget mais un levier de performance

Olivier Riou (Directeur du Digital Experience Center chez Siemens), a ouvert le bal en évoquant un cas concret d’application de la réalité virtuelle dans l’industrie : les jumeaux numériques des machines, ces répliques virtuelles d’installations industrielles qui permettent de tester, corriger, optimiser… sans jamais casser une vis ou risquer un accident. Résultat ? Des gains de productivité réels, mesurables, et surtout, accessibles grâce à des architectures immersives de nouvelle génération. L’immersif devient ici un outil de performance, pas une mode passagère.

Olivier Riou a également évoqué le départ à la retraite de 50% des effectifs de l’industrie lourde d’ici à cinq ans : le secteur va donc recruter de façon significative dans les années à venir! Et notamment des jeunes bien formés sur ces technologies. Car les entreprises ont besoin des jumeaux numériques de toutes les machines, afin de réduire les délais de maintenance et donc les coûts de production.

3D temps réel : l’émotion de l’expérience utilisateur avant la technologie

Pour Sylvain Ordureau (Fondateur et président de 3DVerse), physicien de formation et détenteur de brevets pour des technologies de pointe, la 3D temps réel, en cours de développement, ne sera ni lourde ni complexe. Elle sera fluide, accessible via le cloud, sur tous les appareils, et, en outre, collaborative. Grâce à une technologie (de calcul déporté) qui s’efface derrière l’expérience utilisateur, l’immersif peut redevenir soit un vecteur d’émotion, soit un vecteur de performance économique, et non un défi technologique permanent.

Sylvain Ordureau promet une révolution de l’usage, par une simplification de l’accès (pas d’application ou de données à télécharger), au service des utilisateurs et créateurs. Il défend l’idée que le monde moderne a besoin d’une bonne architecture, comme celle que propose 3DVerse : dans un seul espace persistant, les personnes peuvent échanger comme dans un outil collaboratif, avec des scènes 3D qui permettent de visualiser des détails poussés. Et les développements dans l’industrie lourde sont nombreux : il s’agit pour les jeunes diplômés de se renseigner sur ces débouchés qui peuvent être aussi “fun” que les débouchés dans les industries créatives.

Selon lui, le principal défi est celui de la résistance au changement. Les gens adorent la nouveauté mais détestent le changement. Si l’architecture est claire en revanche, la réglementation et les critères d’éthique seront simples à appliquer.

Jeu vidéo et spectacles : créativité et quête de modèle

Le témoignage de Nicolas Vienat (Fondateur de Hallucinations Studio) a jeté une lumière crue mais stimulante sur les enjeux du jeu vidéo immersif mais aussi des expériences en grande salle.

Dans le secteur du jeu vidéo, loin des clichés, il a parlé de métiers multiples, de sens à trouver, et surtout, d’un public à conquérir. Car si l’immersif fascine, il reste à construire une audience fidèle et capable de payer des prix relativement élevés. Il s’agit de construire un modèle économique viable sans sacrifier le volet artistique. Interrogé sur les développements liés au mobile, il a précisé que si certes le mobile accroît les usages, la VR est encore très limitée sur cet appareil.

Il a mentionné que le secteur des expériences virtuelles en grande salle se développe également, offrant un débouché alternatif pour les métiers de l’immersif.

Enfin, au rang des compétences majeures pour travailler dans un studio de jeu vidéo et expériences virtuelles, il a souligné la compétence de communication interpersonnelle. Les bases techniques sont indispensables, mais tout autant que la capacité à travailler en équipe.

Cinéma/télévision : un tournant narratif et écologique

Lionel Payet Pigeon (Fondateur de La Planète Rouge, studio de production virtuelle et de post-production, précédemment compositeur de musique pour l’image) a partagé une vision en mutation du cinéma et de l’audiovisuel plus largement. Grâce à la production virtuelle (mur LED et technologies associées), les tournages changent de nature : plus agiles, moins coûteux, et surtout, à l’empreinte carbone réduite. L’immersif devient un outil de storytelling et de transformation, au service d’une industrie qui repense ses récits autant que ses pratiques. Les plateaux numériques deviennent des terrains d’invention narrative, où les frontières entre fiction, documentaire et art visuel s’estompent. Cependant, les technologies ne remplacent pas la connaissance du métier.

Il a insisté sur la formation nécessaire pour monter en compétences sur la production virtuelle. Sylvia Andriantsimahavandy, directrice de l’innovation à La Plateforme, a rebondi sur ce point en rappelant l’existence de la nouvelle formation continue “Ecrire et storyboarder une série pour la production virtuelle” organisée cette année par l’école, sous la houlette de Pierre Cattan, expert du transmédia, journaliste et producteur, fondateur du studio de création Small Bang.

En conclusion : l’immersif, une culture et une grammaire interdisciplinaire à apprendre

Ce qui relie tous ces témoignages ? Une certitude : l’immersion est plus qu’une technologie, elle ne vaut que si elle est porteuse de sens, et/ou de performance, et si elle s’apprend minutieusement. Technique, art, stratégie, écologie, émotion et collaboration : les systèmes immersifs obligent à décloisonner.

Le futur de l’immersif s’écrit dans ces expérimentations, ces projets, et aussi dans les formations. À l’heure où les étudiants s’interrogent sur leur avenir dans un monde en transformation, cette table ronde a offert un message clair : les métiers de demain se construiront dans les interstices entre tech, création, stratégie et conscience sociale. Et les systèmes immersifs seront l’un de leurs laboratoires les plus fertiles.

C’est pour répondre à ces besoins en talents que nous avons lancé un Master of Science “Expert Systèmes Immersifs” qui permet de travailler dans ces différents secteurs grâce à une maîtrise des technologies et savoir-être adaptés.

Rédactrice : Julie Thines, Directrice de la formation continue et du programme La Plateforme Creative.

La Plateforme_ bénéficie du soutien du plan France 2030 – La grande fabrique de l’image et est accompagnée par le CNC.

Retour sur la formation continue « Intégrer les outils IA pour la création des images »

Retour sur la formation continue « Intégrer les outils IA pour la création des images »

Trois jours pour maîtriser les outils d’IA générative appliqués à la création d’images et de vidéos

Bonjour, je suis Amandine Dumas, chargée de communication digitale à La Plateforme. J’ai eu l’opportunité de tester notre formation « IA & Métiers de l’Image », et l’expérience a été aussi intense qu’enrichissante !

Aux côtés de 11 autres professionnels du secteur visuel (directeurs artistiques, graphistes, photographes, reporters), j’ai suivi ce programme intensif de trois jours animé par Stephan Muntaner, directeur de création, graphiste et expert en IA appliquée à la création visuelle.
L’objectif ? Comprendre et intégrer les outils d’IA dans les flux de production et processus créatifs, tout en développant un regard critique sur ces nouvelles pratiques.

Une immersion dans la génération d’images IA

Dès le premier jour, nous avons exploré les principes fondamentaux de la création d’images IA et l’art de formuler des prompts. Stephan a démystifié des outils comme Midjourney (pour la génération d’images) et Magnific AI (pour l’amélioration et l’upscaling des visuels). Chaque démonstration était enrichie de cas concrets, nous permettant d’appliquer directement ces techniques à nos métiers respectifs.

Une fois ces bases assimilées, nous avons mis nos nouvelles compétences en pratique en créant une affiche fictive pour le Jungle Jazz Festival. Entre génération d’images, typographies IA et intégration dans des mockups avancés, j’ai rapidement réalisé que, spoiler alert : la typographie en IA sera votre ennemi !

L’un des points forts de la génération d’images par IA ? L’optimisation du processus de préproduction. L’IA devient un allié puissant pour affiner la direction artistique, accélérer l’idéation et fluidifier les échanges avec les clients ou les équipes. Un vrai gain d’efficacité !

Dans mon cas, elle me permet de :

  • Générer rapidement des visuels d’inspiration pour orienter la direction artistique et illustrer des concepts difficiles à trouver en banque d’images.
  • Enrichir nos campagnes marketing et supports digitaux avec des visuels plus percutants.
  • Optimiser et adapter les visuels reçus pour maximiser leur impact, aussi bien en digital qu’en print.
  • Explorer différentes directions créatives plus rapidement, facilitant ainsi la prise de décision et les tests A/B.

Génération de vidéos IA : de la conception à la production

Le deuxième volet de la formation était consacré à la génération de vidéos assistée par IA. Nous avons exploré des outils comme Runway, Kling (génération de vidéos IA) et Magnific AI pour optimiser nos rendus.

Si beaucoup avaient déjà testé Midjourney pour les images, les vidéos IA étaient une vraie nouveauté pour la plupart d’entre nous ! Stephan a brillamment rendu ce sujet captivant en nous montrant comment utiliser l’IA pour créer des spots publicitaires et des clips narratifs.

Au départ, j’avais du mal à imaginer comment intégrer la génération vidéo IA dans mon travail. Mais après avoir testé les outils, j’ai compris qu’il ne s’agissait pas de tout réaliser en IA. L’IA peut être un excellent complément pour générer des scènes supplémentaires tout en maintenant une touche authentique.

Répartis en trois groupes, nous avons relevé un défi de taille : concevoir une vidéo en une journée et demi. Chaque équipe a dû définir un thème, écrire un scénario et générer des assets visuels avec Midjourney. Pour obtenir des images réalistes et cohérentes, il a fallu affiner nos prompts en jouant avec des paramètres techniques comme les matériaux, les textures et l’éclairage.

Entre la création d’assets visuels et les tests de prompts sur Kling et Runway, le processus créatif a été à la fois intense et ponctué de moments hilarants face à certaines interprétations improbables de l’IA. Avec un peu plus de temps, on aurait pu monter un véritable bêtisier !

Présentation des trois projets créatifs

Trois projets ont vu le jour à la suite de cette collaboration dynamique entre les groupes :

🎭 « Priscilla et Elvis »
Réalisé par : Inès Bussède, Julie Guidicelli, Gilles Schoenholtzer & Benoit Talabot

Une mise en scène surréaliste d’une demeure aux habitants intrigants, oscillant entre accueil chaleureux et mystère.

🎬 « TAKOSYAKI »
Réalisé par : Marion Gambin, Patrice Le Verger, Aurélie Preaud & Ariane Souvannavong 

Un hommage aux codes cinématographiques du western, avec un twist humoristique où des « revolvers tacos » fusionnent culture mexicaine et japonaise.

🩸 « Deadly Joke »
Réalisé par : Benjamin Bernard, Thomas Coispel, Thierry Jannot & Amandine Dumas

Une parodie de films d’horreur où un tueur s’infiltre dans une cabane en forêt… mais se retrouve ignoré par des jeunes trop absorbés par leur boisson, jusqu’à succomber au plaisir du produit lui-même.

En guise de guest surprise, nous avons eu la chance de collaborer avec Christophe Menassier, compositeur & sound designer, qui est intervenu pour créer les musiques de nos vidéos à l’aide de l’IA. En un temps record, il a trouvé des ambiances sonores parfaites pour nos projets, renforçant l’immersion et la dimension professionnelle de nos réalisations.

Cela m’a donné envie de tester l’outil Suno pour générer de la musique. Cet outil pourrait s’avérer extrêmement utile dans mon métier, en me faisant gagner un temps précieux sur le temps consacré à la recherche de musiques adaptées à mes campagnes.

Retour sur la formation et perspectives

Les participants ont été impressionnés par les possibilités offertes par les outils d’IA et leur impact direct sur nos métiers. En trois jours, nous avons non seulement appris à utiliser ces outils, mais aussi à réfléchir à leur intégration stratégique dans nos processus créatifs.

Une conviction commune a émergé : l’IA est un outil incontournable pour l’avenir créatif de nos secteurs. Il est essentiel de l’intégrer intelligemment dans nos pratiques pour rester compétitif et à la pointe de l’innovation.

Pour ma part, cette formation m’a permis d’élargir mes compétences et de découvrir des fonctionnalités qui enrichiront mes pratiques professionnelles. La génération vidéo, en particulier, m’a ouvert des perspectives intéressantes que je suis impatiente d’explorer dans mon travail.

Un immense merci à Stéphan Muntaner, Christophe Menassier, à l’équipe Innovation de La Plateforme, ainsi qu’à tous les participants pour ces échanges inspirants et cette montée en compétences collective.

Bonne nouvelle : une deuxième session est prévue en juin ! Alors, si vous souhaitez développer vos compétences en IA appliquée à la création visuelle, je vous conseille vivement de vous inscrire.

Création d’un challenge CTF en cryptographie par nos étudiants

Création d’un challenge CTF en cryptographie par nos étudiants

Pour le CTF annuel d’INTIGRITI*– 1337UP LIVE CTF, les organisateurs ont sollicité la communauté pour proposer des challenges originaux.

Nicolas Duhamel, étudiant en B2 Cybersécurité à La Plateforme, a décidé de relever ce défi. Il s’est tourné vers la cryptographie, son domaine de prédilection, pour concevoir son premier challenge CTF.

*Intigriti est une entreprise spécialisée dans la cybersécurité, aidant les organisations à se protéger contre la cybercriminalité.

Des coulisses de la création d’un challenge en cryptographie

La création d’un challenge en cryptographie commence par l’imagination d’un problème, une sorte de puzzle, que les participants devront résoudre. Ce problème doit être équilibré : ni trop difficile, pour rester accessible, ni trop simple, afin de départager les compétences des joueurs. Dans un premier temps, une description succincte du problème et de sa solution est soumise aux organisateurs, qui décident si le challenge sera intégré au CTF.

Une fois validé, commence la phase de conception. Les challenges cryptographiques se déclinent
généralement en deux types : statiques et dynamiques. Les challenges statiques consistent à fournir des fichiers (texte, binaire) à déchiffrer, tandis que les challenges dynamiques impliquent souvent un serveur interactif et le code source associé. Pour ces derniers, l’utilisation de conteneurs (via Docker Compose, par exemple) facilite leur déploiement. Cette étape est essentielle pour garantir une expérience fluide, mais elle sera laissée de côté ici pour nous concentrer sur l’essentiel : la conception du problème.

La cryptographie expliquée simplement : principes et applications

La cryptographie joue un rôle essentiel dans notre vie quotidienne, souvent sans que nous en soyons conscients. Des paiements en ligne aux messages instantanés, elle assure que vos données restent confidentielles et protégées contre les altérations. Son objectif principal est de convertir des informations lisibles (texte clair) en un format illisible (texte chiffré) à l’aide d’algorithmes et de clés, accessibles uniquement aux personnes autorisées. Ainsi, même si un tiers intercepte les données, il ne pourra pas les comprendre sans la clé appropriée.

La cryptographie repose sur deux grandes techniques : le chiffrement symétrique et le chiffrement
asymétrique. Dans le chiffrement symétrique, une seule clé est utilisée à la fois pour chiffrer et déchiffrer les données, ce qui nécessite un échange sécurisé de cette clé entre les parties. À l’inverse, le chiffrement asymétrique repose sur une paire de clés : une clé publique pour chiffrer les données et une clé privée pour les déchiffrer.

Dans le cas du chiffrement symétrique, un problème pratique se pose : comment partager la clé commune en toute sécurité ? Pour résoudre ce défi, plusieurs protocoles ont été développés, parmi lesquels l’algorithme Diffie-Hellman, l’un des plus célèbres. Ce protocole permet à deux parties d’établir une clé secrète commune, même si leurs communications sont interceptées.

Zoom sur le défi : analyser un protocole d’échange de clé non sécurisé

Le challenge proposé porte sur un protocole d’échange de clé non standard. Ce dernier n’est pas sécurisé, mais encore faut-il être capable de comprendre pourquoi. Basé sur le chiffrement RSA – un algorithme inventé par Rivest, Shamir et Adleman – ce protocole semble à première vue robuste, puisque RSA est largement utilisé et réputé. Pourtant, l’utilisation d’un chiffrement sûr ne garantit pas toujours la sécurité d’un protocole entier. Ici, RSA est implémenté de manière naïve, rendant l’échange vulnérable à une attaque classique.

Dans la pratique, la sécurité d’un protocole repose souvent sur la longueur de sa clé, exprimée en bits, qui détermine sa résistance au bruteforce (test de toutes les clés possibles). Bien que la clé utilisée ici soit de 32 bits, un bruteforce naïf prendrait plus de temps que les 5 minutes imposées par le challenge. La solution passe alors par une attaque optimisée, dite « meet in the middle », qui consiste à diviser la clé en deux parties à brute-forcer séparément. Cela réduit la complexité à deux bruteforces de 16 bits, réalisables dans le délai imparti. On fait ici l’hypothèse que l’on peut diviser la clé en deux facteurs de 16 bits. Cela n’est pas toujours vrai, mais cela reste vrai avec une probabilité d’environ 20 %. Autrement dit, cette attaque fonctionne environ 1 fois sur 5, ce qui est largement suffisant pour compromettre la sécurité du protocole.

Nous mettons à disposition, pour ceux d’entre vous ayant des compétences en programmation, le code du serveur ainsi que celui de la résolution du challenge : code serveur, code solution.

code serveur : https://gist.github.com/nicolas-duhamel/90a9cfc41fdde2796e174041fd49b7a5
code solution : https://gist.github.com/nicolas-duhamel/87f70081c14070aab889f26f66844c2a

La timeline et une anecdote

Tout le processus de création du challenge a duré plusieurs mois. Après l’appel initial lancé aux auteurs de challenges, un premier mois s’est écoulé entre la soumission d’une proposition succincte et son acceptation par les organisateurs. Une fois cette étape franchie, viens l’écriture du code du challenge en Python ainsi que de sa solution, afin de prouver que le problème était résoluble dans les conditions imposées. Cette phase a été suivie par quelques échanges avec les organisateurs pour ajuster l’intégration et le déploiement. Une partie de ces discussions portait sur l’intégration via Docker Compose, qui facilite le déploiement des serveurs pendant le CTF. Finalement, le challenge était prêt environ trois semaines avant le jour J.

Cependant, à quelques jours seulement du CTF, un coup de stress énorme : le challenge pourrait être vulnérable à une autre attaque classique, connue sous le nom d’attaque de Coppersmith. Si cette attaque avait été applicable, elle aurait réduit l’intérêt du challenge en le rendant trop facile à résoudre. Par un heureux hasard, la clé publique choisie rendait cette attaque impraticable sur un ordinateur de bureau classique. Dans tous les cas, une simple modification dans le code aurait suffi à neutraliser l’attaque.

Ces solutions « unintended » (non prévues) sont souvent un cauchemar pour les auteurs de challenges, car elles peuvent réduire, voire totalement annihiler, l’intérêt du challenge. Il n’est pas rare de voir, pendant un CTF, des challenges « revenge » apparaître : il s’agit de corrections rapides des failles imprévues qui rend le challenge initial trop facile. Ces ajustements de dernière minute, bien qu’essentiels, rappellent l’importance de tester rigoureusement un problème sous tous les angles.

Conclusion

Ce challenge illustre à quel point la cryptographie est un domaine subtil. Concevoir des protocoles robustes demande non seulement des connaissances solides, mais aussi une expertise pratique. Écrire un challenge pour un CTF est une expérience unique, exigeante mais enrichissante. Cela pousse à approfondir ses compétences, à imaginer des problèmes réalistes et à penser comme un attaquant pour anticiper les stratégies des participants.

Ce retour d’expérience montre également l’importance d’équilibrer difficulté et pédagogie : il s’agit non seulement de proposer un défi technique, mais aussi d’offrir un apprentissage concret à ceux qui s’y confrontent. Si vous souhaitez vous lancer dans la conception de challenges, prenez le temps de valider vos idées et de tester vos concepts, similaire à l’étape de bêta test pour les jeux vidéos. Et surtout, rappelez-vous qu’en matière de sécurité, chaque détail compte – d’où l’importance de faire appel à des experts pour garantir la solidité des systèmes.

 

Si vous avez testé le challenge ou souhaitez partager votre expérience, n’hésitez pas à contacter l’auteur : nicolas.duhamel@laplateforme.io.
Rédacteur : Nicolas Duhamel, Etudiant B2 Cybersécurité à La Plateforme_
Crédits photo : Wikipédia

Hackathon « Décroche ton alternance » 2025

Hackathon « Décroche ton alternance » 2025

Une semaine pour booster sa recherche d’alternance !

Du 3 au 7 mars 2025, La Plateforme a organisé le Hackathon « Décroche ton Alternance », un événement majeur destiné à accompagner nos étudiants dans leur recherche d’alternance. L’objectif était clair : leur fournir un cadre structurant, des outils pratiques et des retours constructifs pour optimiser leur candidature et les préparer au mieux au processus de recrutement.

Un programme progressif et intensif

Durant cette semaine intense, les étudiants ont été plongés dans des situations professionnelles concrètes: postuler à des offres d’alternance fictives, se préparer aux entretiens, et passer leur propre entretien simulé en fin de semaine.

Le hackathon a été rythmé par un parcours enrichissant, alternant théorie et mise en pratique, avec un accompagnement constant de la part de mentors et de l’équipe pédagogique.

Jour 1 : Lancement du hackathon,  découverte d’un outil leur permettant de gérer de manière plus efficace leur recherche : GRIMP, révision des informations essentielles sur l’alternance, exploration des offres fictives, et premiers travaux en autonomie.

Jour 2 : Préparation approfondie aux entretiens d’embauche : travail sur les questions types, la présentation de projet et consultations techniques avec des mentors pour se préparer aux entretiens et questions techniques.

Jour 3 : Des experts de chaque spécialisation sont intervenus auprès de nos étudiants afin de leur donner leur vision du marché du travail, des compétences techniques et soft skills attendues et leurs retours d’expérience sur comment se démarquer.

Nous avons pu accueillir Youssef Baltagi (Directeur de mission Intelligence Artificielle au sein de la métropole Aix Marseille); Cédric Messeguer (Directeur du lab Cyber à La Plateforme), Jérome Savajols (co fondateur de l’Atelier) et Ana Stanko (Directrice des opérations de l’Atelier).

Nos étudiants avaient ensuite jusqu’à 18h pour postuler dans GRIMP aux offres fictives d’alternance que nous leur avions préparées.

Jour 4 : Intervention de Cyril Zimmermann, CEO, sur les clés de la prise de parole en public. Dans son discours inspirant, il a partagé l’importance de se présenter de manière percutante en racontant une histoire claire, authentique et dynamique. Il a insisté sur le fait que l’entretien n’est pas un monologue, mais un échange où il faut être « dense comme une balle » — concentré, énergique et motivé, sans alourdir la conversation.

L’après midi, des entretiens fictifs ont été réalisés devant un jury composé de 2 personnes dont un profil technique. À l’issue des simulations, le jury a évalué la «employabilité» de chaque candidat et fourni des retours détaillés avec des conseils personnalisés pour améliorer leurs entretiens.

Jour  5 : Poursuite des simulations d’entretiens et clôture du hackathon par un bilan complet : analyse des forces et axes de progression, annonce des étudiants ayant décroché les alternances fictives, partage des meilleures pratiques pour la prospection, et sensibilisation à l’importance du suivi dans la recherche.

59% de taux de réussite intercampus

📌 208 entretiens réalisés à Marseille, 17 à Martigues et 28 à Cannes.

📌 Par compétence évaluée :

  • Expression orale : 64% des étudiants classés en niveau « Pro » ou « Expert »
  • Professionnalisme : 64%
  • Esprit d’initiative : 52%
  • Motivation : 60%

Des objectifs clairs pour un maximum d’impact

Ce hackathon a permis de :

  • Évaluer l’employabilité des étudiants et d’identifier les actions à mettre en place pour les accompagner dans les mois à venir.

  • Créer un vrai déclic sur leur niveau de préparation et les encourager à passer à l’action.

  • Maîtriser GRIMP, leur nouvel outil de suivi et de gestion de leur recherche d’alternance.

Les étudiants ayant réussi le hackathon bénéficient :

  • D’un accompagnement poussé par les équipes relations entreprises
  • Un push d’offres partenaires
  • Un mentoring avec la CMA/CGM (pour les étudiants de Marseille)

Des étudiants mieux préparés pour leur avenir

Après cette semaine immersive, nos étudiants repartent avec :

✅ Une meilleure compréhension des attentes des recruteurs
✅ Un CV et une lettre de motivation complètement optimisés
✅ Des compétences renforcées en prise de parole et présentation de projet.
✅ Un plan d’action clair pour poursuivre efficacement leur recherche d’alternance.

Un immense merci !

Cet événement n’aurait pas été possible sans le soutien du Crédit Agricole Alpes Provence et l’engagement de toute l’équipe de La Plateforme, des mentors et des experts mobilisés tout au long de la semaine. Bravo à nos étudiants pour leur implication et leur travail, et merci à tous pour avoir fait de ce hackathon un succès ! 👏

Lancement du programme Bourse Bachelor Cyber (BBC) – Advens for People and Planet fonds de dotation

Lancement du programme Bourse Bachelor Cyber (BBC) – Advens for People and Planet fonds de dotation

Le Bachelor Cyber a été créé par La Plateforme et bénéficie du soutien d’Advens for People and Planet fonds de dotation, parrain du Bachelor Cyber !

La Plateforme_ et le fonds de dotation Advens for People and Planet (AFPP) lancent le programme BBC – Bourse Bachelor Cyber, pour donner la possibilité à quelques étudiants de deuxième année de poursuivre leur formation en cybersécurité.

Le 15 octobre dernier, un jury composé des équipes de La Plateforme_, Céline Emptoz-Lacote et Cyril Zimmermann, Lucile Gasber-Aad du fonds de dotation AFPP, Fatene Ben Hamza, Directrice Générale de l’association Génération Marseille, Kadidiatou Doumbia, consultante en cybersécurité pour Advens et de Franck Guillaume, DSI de la Compagnie Fruitière, a sélectionné 12 étudiants parmi 23 postulants pour intégrer le nouveau programme BBC.

Destiné aux étudiants de 2ème année en cybersécurité sans alternance, ce programme leur offre une opportunité unique : une continuité de leur parcours en deuxième année sans alternance, tout en assurant le financement de cette année charnière et un accompagnement personnalisé jusqu’à ce qu’ils trouvent une entreprise partenaire. En s’appuyant sur une démarche innovante et inclusive, ce programme vise à développer des talents d’excellence pour répondre aux enjeux croissants de la cybersécurité. Les étudiants sélectionnés ont démontré leur engagement dans leur formation et détermination pour la poursuite de recherche d’une place en alternance et insertion professionnelle dans le secteur de la cybersécurité.

Nous tenons à féliciter nos étudiants lauréats : Abdou Rachidou Arouna, Adrien Troussier, Duhamel Nicolas, El Hadji Malick Dione, Ilans Bonsens, Kheira Lakhezoum, Mansour Boumediene, Reinaldo Jordan, Ryma Abderrahim, Crystal Destailleurs, Tareq Fergougui et Romain Abdouh !